Ces vies passées, présentes, et futures.

 

 

A bien y réfléchit, nous finissons un jour par comprendre que la vie est éternelle, et nous nous disons sans doute, qu'il n'y a ni commencement, ni fin.
 

Les amis que nous avons rencontré au cours de notre existence, nous reviennent époque après époque.

Comme s'il en résultait que nous ne mourrions jamais vraiment, et que nous ne naissons jamais vraiment non plus.

C'est probablement pour cette raison qu'au cours de notre existence, nous voyons des images passées, et futures comme si nous les avions déjà vécu.
 

Et un jour, la vie reprend de plus belle après avoir laissé une vie derrière nous, afin de commencer celle qui nous était destinée.

 

Jazs

 

 

En ces temps de paix, d'amour, de joie, de partage, et de souvenirs........

 

 

Pour le moment, je fais une petite pause sur les légendes d'antan

En effet, je vous réserve d'autres légendes qui rappelleront l'esprit des fêtes de fin d'année, celles-ci disons plus légendaires que jamais

Celles qui sont restées à jamais marquées dans les temps, et que nous admirons tous chacun à notre façon

Les fêtes de fin d'année ayant marqué en ces temps très très éloignés, ces  jours de paix de l'âme, et d'esprit

Elles nous ont été transmises pour que nous les oublions jamais, et surtout, elles nous permettent toujours de les fêter depuis de nombreux siècles

Il est bon de savoir que grâce à nos ancêtres, nous veillons tous à fêter les fêtes de fin d'année, pour qu'elles ne s’éteignent jamais

Et surtout, surtout, tant que nous saurons être dans cet esprit du partage, mais aussi, dans l'esprit d'être ensemble, d'oublier les différents, de régner en paix même quelques jours dans l'année, les fêtes de fin d'années vivront à jamais, afin de transmettre à notre tour, cette petite étincelle de joie, de paix, et de bonheur aux générations suivantes

Avec amitié

Jazs

 

Les croyances, et religion Catholique en ces temps moyenâgeux.

 

 

Au moyen âge, l’immense majorité des habitants étaient Chrétiens Catholiques, la religion était présente dans tous les aspects de leur vie, ceux-ci devaient obéir aux règles établies, et dictées par l’église.

 

Chaque village était une paroisse dirigée par un prêtre qui guidait les villageois, afin qu’ils puissent, d’après leurs croyances, gagner le paradis.

 

L’influence de l’église s’exerçait aussi dans l’organisation de la société moyenâgeuse, et dans la société féodale.

 

C’était ainsi que la religion au moyen âge s’exerçait, et devait être tenue d’être appliquée, car c’était le rôle de l’église dans la société féodale, entre le XI^e et le XV^e siècles.

 

La vie médiévale était une vie Chrétienne rythmée par la religion, et l’église encadre la société féodale.

 

Au moyen âge, la religion la plus répandue était le Christianisme, la plupart des habitants étaient Catholiques.

 

Les gens croyaient au jugement dernier, c’est à dire qu’après leur mort, les bons Chrétiens allaient au paradis, et obtenaient la vie éternelle, alors que les mauvais Chrétiens, eux brûlaient en enfer.

 

Cette croyance était au cœur de la pratique religieuse des Chrétiens au moyen âge, et tout le monde angoissait à l'idée d’être pris par le péché.

 

Tout au long de leur vie, par leurs actions, les gens cherchaient à sauver leur âme, et cherchaient aussi à obtenir le salut.

 

Pour les fidèles Chrétiens, il existait plusieurs moyens d’obtenir ce salut, en faisant des dons à l’église, et aux pauvres ou effectuaient des pèlerinages, en se rendant à pied dans les églises qui abritaient des reliques.

 

 

 

Au moyen âge, la foi en Dieu était générale, et à l'exception du judaïsme, Dieu était Catholique. L’église, puissante et riche, et surtout très influente, tenait une place aussi importante que privilégiée dans la société.

 

Les membres du clergé étaient responsables de la religion, et les prêtres étaient présents dans les paroisses, dirigeant ainsi, les messes.

 

Se faisant, ils dispensaient les 7 sacrements nécessaires au salut de l'âme, dont le baptême qui était une obligation, c’était le seul moyen de devenir Chrétien, et ce, dès la naissance, pour faire réellement partie de la société.

Le prêtre, qui lui connaissait tous ses paroissiens, baptisait les enfants, mariait les couples, entendait les confessions, bénissait les semailles, les récoltes, et accompagnait tout le monde au moment du passage vers la mort.

 

Il était donc un personnage important, mais aussi connu de chacun, son église était symboliquement construite au cœur du village ou de la ville, afin que nul n'oublie jamais la présence de Dieu, et l'importance de ses représentants.

 

C’était, en ces temps ancestraux, l'investissement de l'église pour le triomphe du Catholicisme.

 

Au moyen âge, les juifs furent persécutés à partir du 13^e siècle, et l'église s'attaquait très tôt à ceux qu'elle considérait comme hérétiques (les hérétiques sont des Chrétiens dont les croyances, et les pratiques n'étaient pas conformes à celles enseignées par l'église Catholique). 

 

En 1208, le pape avait envoyé une croisade de chevaliers pour combattre contre l'hérésie des cathares (appelés aussi Albigeois) dans le sud ouest de la France.

 

C’est ainsi qu’il créa les tribunaux spéciaux, que l’on appelait : l'inquisition, chargés de trouver, et de juger les hérétiques.

 

 

 

À partir du 11^e siècle, le pape soutint les petits états Chrétiens du nord de l'Espagne à se lancer dans une opération de reconquête sur le reste de la péninsule qui était aux mains des musulmans depuis des siècles.

 

L'église possédait le monopole de l'enseignement, les clercs étaient, plus ou moins instruits, et certains d'entre eux étaient chargés d'apprendre aux enfants les bases de la lecture, de l'écriture, et des chiffres.

 

Ce qui fut longtemps au sein des monastères, par la suite, des écoles cathédrales urbaines furent mises en place, placées sous la responsabilité de l'évêque.

À partir du 12^e siècle, l'église fonda des universités, qui furent directement placées sous l'autorité du pape.

 

À cette époque, pour survivre, les plus pauvres étaient réduits à la mendicité lorsqu'ils se retrouvaient sans travail, malades ou infirmes, et l'église, suivant l'exemple du Christ, se donnait pour mission, de secourir les plus pauvres.

 

Dans de nombreux monastères, ils pouvaient temporairement être accueillis, et nourris, ils pouvaient également recevoir assistance dans des hôpitaux, hôpitaux que l’on nommés en ces temps très anciens : les hôtels-Dieu, qui furent fondés, et entretenus par des congrégations religieuses.
 

L'église offrait, et même imposait aux hommes une vision totalement Chrétienne de la société, c’était elle qui était à l'origine de l'explication de son découpage entre ceux qui priaient, les nobles qui combattaient, et ceux qui travaillaient, c'est à dire 98 % de la population.

 

Riche, pauvre, noble ou gueux, chacun devait rester à sa place, et tenir son rôle, parce qu'elle justifiait cette situation comme une émanation de la volonté Divine, et nul ne pouvait se permettre de la remettre en cause.

 

 

 

Forte de l'affirmation du Christ fût : « tout ce que vous faites au plus petit d'entre vous, c'est à moi que vous le faites », et l'église tenta de limiter l'impact des guerres entre les chevaliers sur la vie de tous ceux qui ne la faisaient pas.

 

Fut instauré également une trêve de Dieu qui interdisait les combats certains jours, et imposa également un droit d'asile qui interdit de pourchasser les gens qui se réfugiaient dans les Églises ou dans les monastères.

Elle avait également la possibilité, et le droit d'excommunier un fidèle s'il ne respectait pas les lois ou les commandements de l'église. cet acte était grave, car cela fermait les portes du paradis à l'excommunié, et le mettait au ban de la société.

 

Au moyen âge, un homme excommunié était seul, abandonné de tous, qu’il soit riche ou sans le sou, le plus souvent promis à la mort, nul ne voulait plus avoir de rapport avec lui.

 

 

 

Au moyen âge, l'église jouait un rôle très important dans la société, c'était elle qui avait été à l'origine du découpage de la société entre ceux qui combattaient, ceux qui priaient, et ceux qui travaillaient.

 

C'était elle qui était chargée de diriger, mais aussi d'organiser le culte Catholique, de dire la messe, d'entendre les confessions, et de donner les sacrements.

 

C'était elle également qui sacrait les rois, et les empereurs, c’était elle qui était chargée de l'enseignement, et qui s'occupait d'aider les plus faibles, et les plus démunis.

 

Dans les villes, les évêques créèrent des Hôtels Dieu ainsi que des universités, pour limiter les dégâts des guerres entre seigneurs sur le petit peuple, et l'église mit en place la Paix de Dieu ainsi que la trêve de Dieu.

 

 

 

 

 

 

Ritus Pacis

 

 

 

Enchantements, chants, et incantations magique des sorcières en ces temps anciens pour le bienfait de la vie, et de la nature en ce bas monde.