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    2ème partie :

     

     

     

    Quels fût les mets aux temps ancestraux ?

     

     

    Sur d’autres tables médiévales, les mets n’étaient pas toujours aussi raffinés, ni aussi goûteux, car le peuple devait se contenter de ce qu’il avait, donc de peu pour se nourrir.

     

    Au tout début de l’an 1000, dans des villages bordés par des moyens de fortune, il n’existait pas encore de château, ni même de mets réservés à aux cuisiniers, et autres dans ces grandes cuisines.

     

    A cette époque éloignée, dans ces villages, les plats étaient surtout préparés en extérieur sur de petits feux de camps dirons-nous, dans des pots de terre pour cuir les repas, et on pouvait aussi réchauffer les repas.

     

    Entre le 10ème et le 11ème siècle, les repas était principalement à base de céréales, ce qui pouvait créer une certain fragilité, car en cas de mauvaise récolte, la situation se faisait assez compliquée en ce sens, car la famine était existante en ces temps moyenâgeux.

     

    Dans les campagnes, les paysans qui en ces temps très lointains, étaient encore des serfs, n’avaient aucun droits sur les terres, car ils n’étaient pas propriétaires non plus.

     

    Les paysans devaient donner en grande partie, leurs récoltes aux seigneurs avoisinants, car les seigneurs avaient en vue d’un besoin presque aveugle, d’argent pour aller en guerre.

     

    Alors, la solution pour les paysans était de braconner dans les forêts des seigneurs, ce qui était, bien sûr, interdit, donc, ils couraient certains risques.

     

    Mais il fallait bien que les paysans se nourrissent, qu’ils soient en bonne santé pour vaquer à leurs occupations quotidiennes dans les champs.

     

    Car le moindre petit bout de viande que les paysans ajoutaient à leurs soupes pouvaient leur coûter très cher, car les sanctions appliquées leur coûtaient la vie.

     

    Ces sanctions devaient servir de leçon aux autres paysans, qui, comme vous pouvez vous en douter, marquaient les esprits.

     

    Le vin en ces temps moyenâgeux.

     

    Jusqu’au 14ème siècle, étaient une grosse préoccupation pour tous les paysans.

     

    Cependant, il existait une loi pour tout aubergistes, qui eux, devaient avoir pour devoir d’accorder un abri, le feu, et l’eau à tous voyageurs.

     

    Il fallait un tendre vin rouge, bien apprécié pour son goût fruité, un vin adoucit où l’on ajoutait un peu de miel, du gingembre, ainsi que de la cannelle.

     

    La consommation de vin, était consommée entre 2 à 3 litres par jour et par personne, le vin ne dépassant généralement pas les 5 à 6 degrés.

     

    Ce faible taux d’alcool donnait une vertu antiseptique, et pour boire de l’eau, il était vivement conseillé d’y ajouter du vin.

     

    Pour les amateurs de vin, plus tôt que d’eau, il fallait qu’ils sachent comment il était pressé, car en ces époques ancestrales, il y avait 2 façons de produire le vin.

     

    Il y avait le vin foulé aux pieds, qui était apprécié comme le meilleur vin, et il y avait le vin pressé, qui était un vin déjà moins apprécié, car la rafle du vin ne sortait pas, et le vin était plus teinté, plus épais, et plus foncé.

     

    Ce qui veut dire qu’il y avait déjà une différence de qualité pour la production du vin.

     

     

     

    Et pour qu’un voyageur puisse échapper à la pitance, il fallait qu’il sache conter aux aubergistes de fabuleuses histoires de rois, et de seigneurs en d’autres temps, afin de gagner une soupe joliment garnie, un bon feu de cheminée, ainsi que le logis.

     

    Fin de la 2ème partie

    Pour poursuivre cette merveilleuse histoire des mets aux temps ancestraux, je vous invite à poursuivre votre lecture en allant à la 3ème parti (ci-dessous)

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    3ème partie

     

     Quels fût les mets aux temps ancestraux ?

     

    Pour faire une bonne soupe, il fallait un bon morceau de pain, et cela, les boulangères savaient y faire, car elles savaient fort bien mettre les mains à la pâte.

     

    En bonnes commères, tout en s’activant à leurs tâches quotidiennes, elles ont inventé ces fameux dictions que nous employons encore de nos jours.

     

    Par exemple : gagner son pain ou alors, long comme un jour sans pain ou bien, ôter le pain de la bouche ……

     

    L’élément le plus important des repas étaient surtout à base de froment, de seigle, et de son, ce qui pris son évolution dans l’échelle sociale.

     

    En ces temps ancestraux, il y avait 3 sortes de pain, il y avait le pain blanc, que les gens de la belle noblesse aimait particulièrement manger, les gens, disons moins fortunés, mangeaient un pain du pain gris, car il avait dans la pâte un mélange de seigle, et d’avoine, et il y avait le pain noir, qui était un pain très foncé, celui-ci était essentiellement pour les servants et les servantes, mais également pour nourrir les chiens.

     

    Concernant les couleurs des pains, chaque royaume en Europe était logé à la même enseigne, surtout quand il s’agissait de prétendre à sa part de pain blanc.

     

    De grandes manifestations avaient lieu pendant des mois au 14ème siècle en Italie, afin de réclamer plus de pain blanc pour tout le monde sans exception.

     

    Et dans l’attente du four chaud, les boulangères utilisaient le reste de la pâte en faisant de petits pains ronds qui étaient destinés à faire les soupes.

     

     

    Ces délicieuses soupes que l’on aimait manger avec plaisir en ces temps anciens.

     

     

    Toute l’année, et en toutes saisons, pour que le pain ne soit pas perdu, des bouts de pains durs étaient mis au fond de l’écuelle, et l’on versait le potage sur ces bouts de pains durs, ce qui rendait la soupe plus épaisse, mais aussi plus nourrissante.

     

    Pour profiter des journées aux temps ancestraux, le souper se faisait en fin d’après-midi, aux environs de 17 heures.

     

    Les plus pauvres, ceux qui étaient sans le sou, se régalaient devant une telle soupe, qui était un délice à leurs yeux.

     

    C’était une soupe qui était très souvent réchauffée pour éviter les pertes, et qui faisait, après une bonne nuit de sommeil, leur petit déjeuner, car ils se levaient très tôt, dès le chant du coq, car autrefois, les réveils n’existaient pas.

     

    Mais selon les saisons, la couleur de la soupe varie, c’est à dire qu’arrivé à la fin de l’automne, et dès l’hiver, la soupe était brune, et sombre, car elle était faite de pois et/ou de fèves.

     

    Dès le printemps, la soupe était plus blanche, car elle était faite avec des oignons, des orties, et on y ajoutait un peu de lait, et chaque été, la soupe prenait de bien belles couleurs vertes, car elle était faite de légumes de saison.

     

    Et que ce soit pour la soupe ou tout autres plats, l’aliment indispensable, était le pain, surtout quand un beau morceau de viande était servi.

     

    Le pain devint alors, un tranchoir, car quand il était coupé en 2, et servait d’assiette sur laquelle il était servi de belles pièces de viande.

     

    Ce qui comptait le plus, c’était de prendre plaisir à manger quelques petits gibiers, tels que : les cailles, les faisans, les perdrix……

     

    A savoir qu’en ces temps très éloignés, il y avait des périodes maigres qui étaient imposées par la puissante église catholique.

     

    Fin de la 3ème partie

    Je vous invite à poursuivre cette fabuleuse histoire moyenâgeuse des mets aux temps ancestraux en allant à la 4ème partie (ci-dessous)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    4ème partie :

     

     

     

     Quels fût les mets aux temps ancestraux ?

     

     

     

    Mais pourquoi y avait-il des périodes maigres imposées ?

     

     

    Les jours de maigre représentaient un tiers des jours dans l’année, c’était dire que cela se faisaient jusqu’à 160 jours dans une année.

     

    Nous pouvons voir cela comme des jours de Carême ou des jours d’abstinence.

     

    En dissociant graisse, et glucide, nos ancêtres pratiquaient un régime des plus sain, pour leur salue, et se garder en bonne santé.

     

    Au 13ème et au 14ème siècles, ils pratiquaient un long pèlerinage, et marchaient des kilomètres, ces hommes, ces femmes, et ces enfants étaient très croyants, alors ils parcouraient les routes pour effectuer un long pèlerinage, persuadés que de ne pas manger de viande les conduisaient sur la bonne voie, celle de la rédemption.

     

    Pour tout Chrétiens qui se respectaient en ces temps ancestraux, ces règles érigée par l’église étaient parfaitement admises, car ce pèlerinage était vécu telle une évidence

     

    A cela, l’esprit, et la mentalité aux temps moyenâgeux concernant l’attenance alimentaire fût simple, qui étaient des habitudes évidentes.

     

    Pendant le Carême, le boucher arrêtait de vendre de la viande, et vendait à la place du poisson, malgré la bataille entre Carême et carnage au temps médiéval, cela n’était pas été vécu de manière traumatisante, bien au contraire.

     

    Pendant des mois, les pèlerins avaient besoin de calories adaptées, et mangeait principalement du pain, du fromage, et des amandes douces.

     

    Pour les enfants, les amandes douces leurs apportent l’énergie dont ils avaient besoin, pour les adultes, ces fruits secs sous forme de pâte, c’était pour eux, l’ingrédient qui était autrefois, très apprécié.

     

    En ces époques, le beurre n’existait pas, car la graisse, et le saindoux rendaient le pain plus agréable à manger.

     

    Une douceur alimentaire à laquelle il fallait renoncer chaque vendredi en mémoire à la crucifixion du Christ.

     

     

     

    Au moyen âge, les cloîtres, et les couvents avaient de grandes fermes, il y avait de superbes jardins.

     

    L’ordinaire, et la production des monastères étaient assez variés.

     

    Les légumes, les fruits, et la bière étaient située au nord, et le vin et le fromage étaient situé au sud.

     

    Chaque communauté avait sa propre spécialité, sur les tables de certaines abbayes, était servi le fromage de brebis, on raconte même que le fromage de brebis redonnait force, et courage aux pèlerins.

     

    Contrairement à ce que l’on peut croire, nos ancêtres avaient un souci d’équilibre, ils festoyaient certes, mais surtout pas dans l’excès.

     

    Il est vrai qu’en ces temps reculés, les hommes décédaient aux alentours de la quarantaine, pour espérer vivre au-delà de 40 ans, l’hygiène de vie, et la diététique semblaient on ne peut mieux que quelques cierge, quelques prières à l’église.

     

    Car l’idée que l’alimentation était en ces temps moyenâgeux, un moyen assurant une bonne santé, mais aussi une vertu curative.

     

    On pensait que tel ou tel plat cuisiné pouvait combattre telle ou telle maladie, c’était quelque chose qui avait son importance, mais que l’on ne trouve plus de nos jours, cela dit, en ces temps ancestraux, la médecine devait avoir sa place selon les maladies.

     

    Alors, ce fût au travers de traités diététiques que l’on pensait que les aliments, les herbes, les épices, les viandes, les légumes, et les fruits avaient été considéré tels des remèdes naturels médicinales.

     

    On raconte même que toutes les maladies seraient causées par des déséquilibres d’humeur dans le corps humain.

    Fin de la 4ème partie

     

    Je vous invite à poursuivre cette histoire des mets aux temps ancestraux en allant à la 5ème et dernière partie (ci-dessous)

     

     

     

     

     


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    5ème et dernière partie

     

    Quels fût les mets aux temps ancestraux ?

     

    La médecine selon l’alimentation, et les plantes en d’autres temps.

     

     

     

    Pour obtenir une bonne guérison, il fallait activer ou réduire ses humeurs de son corps en pratiquant un régime alimentaire qui convenait à la maladie.

    Ce régime alimentaire était composé d’aliments qui avait la propriété d’obtenir du froid, du chaud, du sec ou quelque chose d’humide.

    Les maladies qui augmentaient la température du corps humain, telle que les poussées de fièvre étaient courantes, on raconte que la fièvre pouvait tomber avec un régime de salade, car les salades étaient très froides.

     Comment faisait-on pour conserver l’alimentation en ces temps très anciens ?

    La recherche alimentaire parcourait le monde ancestral, elle ne s’arrêtait pas juste à des règles diététiques pour son bien être pour se sentir en bonne santé, on recherchait surtout des produits sains, et frais.

    Pour l'alimentation, l’hygiène était inflexible en ces temps là, car il y avait également des règles de bouche à respecter, principalement pour conserver les aliments.

    Pour conserver certains poissons, on les mettait dans des tonneaux remplis de sel, avec cette idée ingénieuse, cela permettait de les garder des mois.

    Les bouchers coupaient toujours la viande avant qu’il ne fasse trop chaud, car la viande devait être irréprochable de fraîcheur.

    Jadis, les précautions qui entouraient les commerces, devait coïncider avec les consommateurs.

    Dès le 13ème siècle, les villes étaient de plus en plus peuplées, et les citadins ne savaient plus d’où pouvait provenir les produits alimentaires qu’ils achetaient au marché ou ne s’en souciaient plus, car plus le temps passait, et plus les citadins devenaient des consommateurs.

    On raconte qu’autrefois, que dans le cochon tout était bon à manger, mais pas n’importe quand non plus.

    L’église permettait le rabattage entre la Toussaint, et Mardi gras, car avec le froid, l’absence de mouches durant cette période rendait la conservation de la viande ce cochon plus certaine.

    Pour en revenir à notre charmant écuyer, en ces temps ancestraux, celui-ci avait fait appliqué une règle d’or qu’il était impératif de respecter : il était formellement défendu de voler, et de grignoter quoi que ce soit, car il ne fallait pas ménager sa peine lorsque l’on travaillait dans une cuisine.

    C’était là, le moyen d’être digne du blason des marmites, surtout si un jour, on voulait acquérir la confiance du roi, et des seigneurs en tant que premier écuyer.

     

    Fin.

     Jazs

     


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    L’histoire des sorcières en tous temps, et à toutes époques.

     

     

    Il faut savoir qu’il y a 2 sortes de sorcières, les bonnes, et les méchantes.

    Mais il ne faut pas confondre entre sorcière et médium, car ce n’est pas la même chose.

    Enfants, leurs pouvoirs est toujours endormi, il ne se réveille qu’à l’approche de l’âge adulte ou tout dépend, à l’âge adulte.

    Il arrive que leurs dons ou pouvoirs se réveillent plutôt, entre la fin de l’enfance, et le début de l’adolescence.

    Petit à petit, les sorcières d’une famille, leurs pouvoirs se transmettent seulement aux filles, et aux femmes de la même famille.

    Dès qu’elles comprennent qu’elles ont hérité des pouvoirs qui leurs reviens, et chacune a son propre pouvoir, elles les découvrent, avec le temps.

    Leurs pouvoirs grandissent, puis, quand elles ont acquis leurs propres expériences, les sorcières apprennent à maîtriser leurs pouvoirs.

    Une règle est fondamentale que toutes sorcières qui se respectent doivent impérativement garder en mémoire, c’est de ne jamais utiliser leurs dons ou pouvoirs à des fins personnels, car il y a toujours des conséquences par la suite, parfois sans gravité, d’autres fois il faut y remédier.

    Mais tout va dépendre des sorcières, car leurs pouvoirs seront différents au fur et à mesure, puisqu’ils évoluent, et se développent avec elles.

    Si elles comprennent que ce sont de bonnes sorcières, alors, elles utiliseront leurs pouvoir à bon escient, si ce ce sont de méchantes sorcières, dans ce cas, elles utiliseront leurs pouvoir pour faire le mal.

     

    Malgré ce que l’on peut croire, les sorcières ont toujours existé, et ce, en tous temps, et à toutes époques.

    Elles peuvent être partout autour de nous sans que nous le sachions disons vraiment.

    Certaines sorcières peuvent être les amies de toutes personnes qui ne s’en doutent pas forcément, à plus forte raison, si les sorcières font le bien autour d’elles.

    Elles vivent exactement comme tout le monde, dans une maison ou dans un appartement, et vivent normalement.

    Malgré de tout ce que l’on peut raconter, les sorcières n’ont pas le nez en forme de pomme de terre, ni le nez crochu, elles n’ont pas la peau verte, ni de chapeau pointu.

    Elles ne portent pas non plus de vieux haillons en guise de juge ou de robe, et ne vivent pas non plus de vieilles maisons défraîchies, délabrées, et poussiéreuses.

    Leur cuisine n’ont pas de bocaux remplis de crapauds, d’araignées, de serpents ou d’autres choses.

    Et surtout, elles n’ont jamais parlé une langue des plus curieuse, et on ne verra pas de sitôt de crapauds sortir de la bouche d’une sorcière, à moins d’un puissant sortilège, et encore.

    Car selon les pays, elles ont toujours parlé la langue courante de façon tout à fait normale.

    Mais bien au contraire de ce que bien des gens peuvent le penser, tout cela, c’est une légende pour amuser les enfants ou faire peur aux gens qui, à l’approche d’Halloween ou la nuit d’Halloween aiment se faire peur.

     

    Cela dit, de nos jours, même à notre siècle, quand nous parlons de sorcières, nous les avons imaginons plus comme au temps jadis, vêtues d’une très longue robe, portant un châle en laine troué ou mité sur les épaules, mal coiffé ou les cheveux gris, sales, et ébouriffés.

    Cela dit, en d’autres temps, les cartes bancaires ou les cartes de crédits ou encore l’argent, peu de gens en avaient comme nous, du moins comme nous, nous en avons disons, librement à notre époque.

    Et quand bien même la vie se montrait dure en ces temps très éloignés, en mettant de côté certaines choses, la vie était autrement plus simple qu’actuellement.

    Bien sûr, il y a toujours de pauvres gens, mais tout le monde vivait de façon très simple.

    Mais peu importe les époques ou les siècles, les sorcières se sont toujours vêtues selon la mode de l’époque.

    Quant à leur balai, et bien, elle s’en sont toujours servis comme toutes les femmes le font, pour nettoyer le sol de leur logis, et demeure.

    Il y a plus de 300 ans, au 17ème siècle précisément, les sorcières fêtaient certaines traditions.

    Ces traditions étaient plus connues sous le nom de cérémonies, disons que tout comme nous, nous fêtons depuis des années, différentes dans l’année, les sorcières fêtaient leurs traditions, mais de façon différente.

    Parfois, lors de ces cérémonies, il arrivait qu’un enfant voit le jour.

    Quand il y avait une célébration, seules les sorcières se réunissaient sous la pleine lune, elles faisaient un feu de camp, puis, chantaient ou récitaient des incantations.

    Les préparatifs étaient importants, tels que le fameux balai, la pomme, sans oublier l’amulette.

    Pendant toute la cérémonie, les sorcières n’invoquaient pas le mal, mais les esprits de la nature.

    Car la nature avaient, en ces temps très anciens, un bienfait incomparable, doté d’incroyables pouvoir de guérison, et bien plus encore.

    Il fallait que les sorcières soient en parfaite harmonie avec la nature, et ce pendant la pleine lune.

     

    C’est au cœur ou vers la fin de la cérémonie qu’elles se protégeaient du mal, et pour cela, elles savaient quoi faire, et comment faire aussi.

    Et bien, c’est là que le balai, la pomme, et l’amulette leurs servaient, c’était pour éloigner, et chasser le mal.

    Selon le sens utilisé du balai, de la magie en sortait sur le sol, et lors de certaines cérémonies, les sorcières s’asseyaient sur leur balai, et s’envolaient en formant un cercle dans le ciel de la nuit, et depuis le sol, on voyait un cercle de silhouettes de femmes assises à l’écuyère sur leur balai, grâce à la pleine lune.

    A savoir qu’au 17ème siècle, les sorcières n’étaient pas spécialement vêtues aillons, ni de vêtements noirs, mais vêtues selon la mode de l’époque, avec des couleurs foncées.

    Cependant, les sorcières portaient une cape qui était faites pour certaines cérémonies uniquement, celles-ci uniquement étaient confectionnées à la main, dans de très jolies étoffes.

    Mais à cette époque, il était de mode de porter une cape à capuche de couleur foncé pour tout le monde peu importe les conditions de vie, et les sorcières ne faisaient pas exception à la mode, car elles portaient également une cape à capuche toute simple pour se couvrir lorsqu’il faisait frais ou lorsqu’il faisait froid ou quand le vent soufflait.

    Ce qui a toujours donné cette impression ou cette illusion de voir une sorcière aux cheveux ébouriffés, portant des aillons, et de grandes bottes pointues, etc...  ce sont les parades qu’elles faisaient en volant devant la lune au soir des cérémonies.

    A savoir qu’elles ne portaient pas un grand chapeau pointus, qu’elles n’avaient pas de cheveux ébouriffés, et n’étaient vêtue de aillons non plus.

    Nous pensons que le rire ou le ricanement des sorcières étaient laid, et malfaisant, mais en réalité, c’était le bas de leur jupe qui claquait aux 4 vents lors de leurs incantations.

    Quant à la pomme, et bien, elle assurait aussi bien la descendance des futures générations de sorcières, que les futures récoltes, car au 17ème siècle, on se nourrissait surtout grâce aux récoltes, et surtout de produits alimentaires naturels.

    Et enfin, l’amulette avait pour rôle de protéger les bonnes sorcières du mal qui rôdait déjà partout en ces temps très anciens.

     

    C’est ainsi que toutes les sorcières se sont transmises leurs dons au fil des générations, du moins, les bonnes sorcières, bien sûr.

    Et malgré ce que l’on peut croire, et bien, les sorcières existent toujours au 21ème siècle, et nous sommes toujours entourés de bonnes sorcières et de mauvaises sorcières, oui, même à notre époque.

    Mais n’est pas sorcière qui le veut, il faut être née sorcière pour l’être.

    Et là, je crois que nous pouvons dire que, c’est une histoire sans fin……

     

    Jazs

     

     

     


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