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Le temps, et son évolution.
Les mondes, les modes, les vies, passent, défilent, mais le temps, lui, ne s’arrête pas en chemin.
Nous évoluons époque après époque, et le temps chemine toujours autant.
Autrefois, nos ancêtres avaient compris que grâce au soleil, ils pouvaient soit s’orienter, soit reconnaître le temps qui passait dans une journée grâce aux ombres sur le sol.
Plus tard, le sablier pris place, ainsi, nos ancêtres pouvaient voir le temps s’écouler, et pouvaient se repérer de jour comme de nuit, et dans la journée, et le temps aussi.
Bien plus tard encore, il y a eu le cadran soleil, et entre le soleil et l’ombre projeté sur le cadran, la baguette indiquant l’heure.
Nous ancêtres avaient eu cette ingéniosité pour connaître le temps qui passait dans une journée.
Puis, vint alors, le calendrier, ce fût en ces temps très lointain, que l’on a associé le temps avec les jours dans l’année, et les saisons.
Les temps se faisant, les horloges, et les montres à aiguilles ont pris, à leur tour, place en ces temps reculés.
A savoir que toutes les horloges, les montres avaient un remontoir, d’autres avec une clé, et d’autres encore avaient des poids, chaque jour il fallait les remonter le mécanisme de chaque horloge pour éviter que les heures du temps ne s’arrêtent.
En ces temps là, il y avait toutes sortes d’horloges, telles que les comtoises, les pendules murales, les pendules de bureau, les montres, etc….
Bien plus tard encore, vers la fin du 20ème siècle, le temps continuait toujours d’avancer, les réveils, et les horloges à quartz aux écrans lumineux pour la plupart, il y avait les réveils radios aux écrans lumineux, avec des chiffres pour que l’heure se voit mieux, tout cela, avait pris place dans les foyers, dans les écoles, etc.….
Car l’heure comptait de plus en plus, tel que, les heures de levées, les heures de couchées, les heures des repas, les heures d’école, les heures de travail, etc.….
En ce sens, disons que les choses n’ont pas beaucoup changé, mais le modernisme lui, a changé bien des choses.
Puisqu’au 21ème siècle, beaucoup de nous ont mis de côté les vieilles horloges, les vieilles pendules, les vieilles montres, les vieux réveils à remontoirs, les vieilles comtoises, les vieilles montres goussets, les vieilles montres au poignet, car tout le monde s’est, disons, mis au temps des réveils radios à quartz, etc.….comme si on avait tourné une page, celle des temps anciens, pour traverser les portes d’un autre monde, avec d’autres méthodes pour vivre en son temps.
Mais voilà, le temps comme les saisons passent toujours, et ne s’arrêtent toujours pas, malgré cela, le changement d’heure pour passer à l’heure d’hiver ou à l’heure d’été, se fait toujours, comme cela s’est toujours fait, cela se fait toujours, mais à notre époque, nous ne nous en préoccupons déjà bien moins.
En effet, nous gardons ancré quelque part en nous, certaines petites obligations, mais l’informatique a pris place, et a révolutionné notre monde, et tout se fait automatiquement, sans effort (ou presque).
Car nous changeons 2 fois dans l’année d’heure, une première fois, pour passer à l’heure d’hiver, et une seconde fois, pour passer à l’heure d’été.
Mais bien au contraire de ce que nous pouvons penser, ce ne sont pas nos habitudes que nous changeons, ce n’est que le passage de l’heure à l’hiver, et le passage à l’été qui changent, rien de plus.
Car même si nous n’avons plus tout à fait à nous soucier du changement d’heure pour le passage de l’heure à l’arrivée de l’hiver, et du passage de l’heure à l’approche des beaux jours d’été, les heures qui s’affichent sur nos appareils se chargent elles-mêmes de ce travail.
A savoir, que ce qui est dit a peut être été mal interprété, car si nous ne changeons plus l’heure au moment du passage à l’hiver, et au moment du passage en été, c’est que cela se fait de façon automatique ou de façon informatique.
Mais nous gardons tout de même cette même habitude (si l’on peut dire) chaque année de reculer d’une heure pour le passage à l’heure d’hiver, et nous avançons d’une heure pour le passage à l’heure d’été.
Et comme pour tout, il y a toujours les bons côtés, et aussi, ce petit côté qui nous dérange ou qui nous perturbe plus ou moins selon les périodes de l’année.
Mais grâce à cette évolution, notre descendance connaîtra probablement tout cela au fil du temps qui passera toujours, et encore…..car le temps est infini, et le restera indéfiniment, voire éternellement.
Car nous ne pouvons plus nous passer des heures qui passent, ni du temps qui passent, pas plus que d’un calendrier, de voir le soleil, la pluie, sentir le vent à chaque saison.
Car chaque saison représente le temps qui passe, car il se renouvelle constamment.
Ceci étant, il y a une petite chose que nous n’avons pas encore explorer dans tout cela, et que nous n’avons pas encore tout à fait fini d’explorer, c’est un autre temps.
Le temps des anges, et celui du monde des invisible, car que soit pour les anges ou pour les êtres du monde invisible, pour eux, le temps n’a pas une grande importance, parce que d’une certaine façon, il n’existe plus.
Mais cela, c’est une autre histoire, peut être peu connu dans notre monde moderne.
Jazs
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1ère partie :
Quels fût les mets aux temps ancestraux ?
Au moyen âge, la misère touchait beaucoup de gens, la violence était quasiment constante, une époque bien triste pour un bon nombre de gens, car la vie n’était aussi rose que nous pouvons se l’imaginer aujourd’hui.
Les repas qui étaient plus somptueux, étaient surtout réservés pour la noblesse, ce qui n’était pas le cas pour ces gens de la basse ville, et ces gens des villages avoisinants.
Cela dit, ce n’était pas toujours comme cela pour tout le monde, par exemple, en Europe on découvrait la médecine, l’algèbre, mais aussi la cuisine.
Dès l’an 1000 jusqu’au 15ème siècle, nos ancêtres devenaient des consommateurs, ils avaient inventé des régimes dissociés, le goûts des terroirs, et écrit des livres de cuisine, des livres qui sont restés, afin de nous transmettre leur savoir.
En 1427, le cuisinier était celui qui veillait sur les oies, et à leurs bons soins, mais celui-ci était également écuyer, parce qu’à cette époque, on le nommait ainsi : écuyer.
Il était, en ces temps ancestraux, l’homme de confiance des chevaliers, et surtout du roi, c’était une fonction très estimée.
Mais avant de gagner une telle confiance, l’écuyer devait faire ses preuves, et prouver qu’il était digne de confiance, ce qui pouvait prendre quelques années.
A savoir que les oies devaient être succulentes pour la belle noblesse, ceci, grâce à l’écuyer, qui était jadis, l’officier de cuisine, et celui-ci régnait disons, en maître dans la cuisine du château.
En tant que tel, il se souciait chaque jour de la santé, mais également de l’appétit du roi, des seigneurs du château, y compris des invités, car il avait pour rôle d’être à la hauteur de la qualité des mets qui, dépendaient des alliances entre les royaumes.
C’était tout un art que d’être écuyer, car il avait pour obligation de superviser les fonctions de toute l’élaboration dans la cuisine du château, parce qu’il devait scrupuleusement respecter chaque tradition, et bien sûr, chaque service.
A savoir, qu’une seule partie de la viande était nettement plus apprécié que l’autre partie, et le haut ou le devant de la viande également.
C’était de cette façon que l’on respectait le rang de chaque invité, et de chaque seigneur quand ils étaient à table.
Pour savoir cuisiner, il fallait avoir une certaine connaissance dans ce domaine, car il fallait savoir improviser selon les arrivages du jour dans la cuisine.
Par exemple, les filets de poissons étaient ce qu’il y avait de mieux pour en faire de succulents pâtés de saumon, à plus forte raison, si le poisson était péché le jour même.
C’était un plat de luxe qui était réservé seulement à quelques privilégiés, car le poisson était péché en eau douce, ce qui était très apprécié en ces temps moyenâgeux.
Cependant, les paysans ne mangeaient pas autant de poisson que ces gens de la noblesse, car le poisson venait des lacs, et des étangs qui appartenaient aux seigneurs de ces lieux, car les paysans ne pouvaient pas aller pécher dans ces eaux là, ni se nourrir avec ces poissons là, car c’était formellement interdit.
Ces interdictions élevaient le prix du poisson, ce qui permettait de réserver cette nourriture exclusivement aux nobles.
Il fallait être astucieux pour faire d’un poisson un met goûteux pour ces gens de la noblesse, pour se faire, il fallait simplement verser du jus de citron sur les filets de poisson pendant la cuisson.
Ce qui apportait pendant sa cuisson, un doux goût sucré au poisson.
Il fallait avoir de la poigne pour tenir une poêle aussi lourdes, car il faut savoir que le manche était tenu en haut, non vers le bas, car des poêles était assez long, enfin surtout le mange plus que la poêle, car il ne fallait pas non plus avoir peur de la fournaise des braises lors de la cuissons des mets sur le feu dans la cheminée.
Avec cette astuce, qui avantageait nettement une bonne cuisson du poisson cuit au jus de citron, en quelques minutes le pâté de poisson était cuit à point, et doré à souhait, dégageant ainsi, un parfum si délicieux, qu’il mettait instantanément les papilles en éveil.
Fin de la 1ère partie
Pour poursuivre cette merveilleuse histoire des mets aux temps ancestraux, je vous invite à poursuivre votre lecture en allant à la 2ème partie (ci-dessous)
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